Pour cette exposition intitulée Le torrent du monde, expression empruntée à Paul Cézanne, Quentin Guichard poursuit sa quête originaire en créant un ensemble d’œuvres inédites, issues de plusieurs phases de résidence en Pays de Courbet, où matières et lumière se nourrissent de correspondances secrètes avec la peinture de Gustave Courbet.